lundi 6 décembre 2010

Mes travailleurs

Dommage que nous ne soyons plus à l'époque où les jeunes partageaient une partie de leurs gains avec leur famille, nous serions riches!

En effet, depuis 2 semaines, deux autres membres de la famille sont entrés sur le marché du travail, après Isabelle qui travaille depuis le mois de septembre au Loblaws, comme caissière. Après un peu de pression parentale, quelques CV mollement distribués et une semaine de recherche plus sérieuse, François a été engagé comme... poissonnier à l'épicerie Métro tout près de chez lui. Première journée de travail demain, à suivre! Mais je regrette un peu ce travail trouvé juste avant les vacances de Noël qu'il devait passer chez nous et qu'il passera maintenant avec les poissons...

Et dans la foulée, après 4 mois de lamentations intenses sur l'urgence de se trouver un travail pour pouvoir ramasser des sous pour son futur voyage en Angleterre et son déménagement dans la grande ville (de Montréal), et après avoir distribué des CV dans toutes les boutiques de la région (et s'être - presque - résignée à en distribuer dans les épiceries et les Tim Horton - dernier choix), Catherine a enfin déniché l'emploi de ses rêves, dans une boutique-bistrot-bar qui vend, entre autres du café et des produits équitables, et qui sert aussi des viennoiseries, repas, alcools, etc. Jacques et moi, après avoir découvert la place, avons décidé de l'adopter dans le futur pour nos futures petites sorties en amoureux, c'est très chaleureux et très agréable et Catherine a adoré ses deux premières journées de travail. Elle sert en salle et, en plus de son salaire - minimum, elle recevra aussi des pourboires, partagés entre les membres de l'équipe. Elle est enchantée.... et nous aussi!

4 commentaires:

  1. Chez moi aussi début timide sur le marché du travail. Un pas dans la vie d'adulte, le début de l'autonomie. Et oui, on est un peu plus riche par le fait même, parce qu'ils participent davantage à leurs dépenses personnelles !

    Le compte est de moins en moins complet à la table pour le souper. Mon seul regret, petit pincement même.

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  2. On devient donc intolérants à l'intolérance quand on a des jeunes en âge de travailler. Hier, la caisse d'une chic fruiterie de mon quartier. La jeune caissière demande au client s'il veut un sac et lui, air bête de lui répondre en anglais (je traduis) "Espèce d'imbécile. (traduction de stupid girl) Tu le vois bien que je n'en ai pas de sac." Ohlala. J'étais devant le monsieur en train de mettre mes choses dans mon sac recyclable. Je lui ai dit que si quelqu'un était stupide ici,c'était lui et personne d'autre. L'écologie, vous ne connaissez pas?

    Il s'en est pris à moi mais pendant ce temps-là, il a au moins laissé la jeune caissière tranquille.

    Le genre d'hommes à qui on a envie de donner une fessée.

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  3. Florian attend ses 13 ans pour se présenter dans le coin pour du baby-sitting.

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  4. Mijo, je le vois bien en babysitter ton gentil garçon !

    Une femme libre, non mais quel ép...! Moi je suis découragée quand les caissières ne me demandent PAS si je veux un sac!

    Michèle, j'ai le même sentiment devant ma table dégarnie. Comme ce soir : nous serons deux. Sur 7!

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Une nouvelle maison

Bon, pas tout à fait, mais c'est une version améliorée de notre vieille demeure.  D'abord, la terrasse : Puis, enfin...